ANTS : Simplifiez vos démarches de permis de conduire en ligne

ANTS : Simplifiez vos démarches de permis de conduire en ligne

L’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) est la plateforme en ligne incontournable pour toutes les démarches liées au permis de conduire et aux véhicules. Que vous soyez novice en administratif ou non, cet article vous prouvera à quel point l’utilisation de l’ANTS est simple et accessible à tous.

Qu’est-ce que l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) ?

L’ANTS est un organisme public, créé en 2007 sous l’égide du ministère de l’Intérieur, chargé de gérer les demandes, l’édition et la distribution des titres officiels relatifs à l’identité (passeports, cartes d’identité) et aux véhicules (permis de conduire, cartes grises). Toutes les procédures se font désormais en ligne, de l’inscription à l’examen du permis de conduire jusqu’à la demande de fabrication du titre, une fois l’épreuve pratique réussie. La rapidité d’obtention du permis de conduire est donc étroitement liée au fonctionnement de la plateforme ANTS.

L’ANTS : un acteur clé pour le permis de conduire

L’ANTS joue un rôle crucial dans le contrôle et l’officialisation des candidats au permis de conduire, depuis leur inscription au code de la route. Elle garde officiellement trace de chaque candidat, par exemple pour le remplacement d’un titre en cas de perte.

Après validation de votre dossier par le service, vous pouvez télécharger l’attestation d’inscription au permis de conduire (remplaçant l’ancien Cerfa 02) environ 10 jours plus tard. Cette attestation comprend le numéro NEPH, nécessaire pour toutes les inscriptions aux examens du code de la route et des épreuves pratiques de conduite. Ce numéro, attribué à vie, sert à la fois de numéro de candidat et de numéro pour votre futur permis de conduire.

L’ANTS pour la fabrication du permis de conduire

Après avoir réussi l’épreuve de conduite, il vous suffit de vous rendre dans votre espace personnel sur la plateforme ANTS pour initier la fabrication de votre permis de conduire. Vous devrez rassembler et télécharger divers documents : justificatif d’identité, justificatif de domicile de moins de 6 mois, photo d’identité et certificat d’examen au permis de conduire (CEPC). Suivez l’évolution de votre dossier en ligne jusqu’à sa validation et complétez-le si nécessaire.

La fabrication de votre permis de conduire suit plusieurs étapes, depuis le statut de brouillon jusqu’à l’envoi final par courrier postal recommandé, en passant par la vérification des photos, la signature numérique et la validation par l’administration.

Le renouvellement du permis de conduire via l’ANTS

Le site ANTS vous permet également de demander le renouvellement ou le duplicata de votre titre en fin de validité ou en cas de perte, vol, détérioration ou changement d’état civil. Connectez-vous ou créez un compte et suivez les instructions en ligne. Pensez à préparer les documents nécessaires selon votre situation : permis de conduire déjà obtenu, avis médical si nécessaire, déclaration de vol, etc. Notez que vous pouvez maintenant présenter une version dématérialisée de votre permis de conduire via l’application France Identité, directement sur votre smartphone !

Délais et étapes pour une demande de permis ANTS

Officiellement, le délai pour recevoir votre permis de conduire est de 4 mois, mais en pratique, le temps d’attente moyen est de 3 à 4 semaines, pouvant parfois s’étendre jusqu’à 6 à 8 semaines. Un permis international est délivré en environ 11 semaines. La demande de permis de conduire s’effectue en quelques clics sur la plateforme ANTS, en suivant les étapes décrites ci-dessus.

En conclusion, l’ANTS simplifie considérablement les démarches liées au permis de conduire, offrant un service en ligne efficace et accessible pour toutes vos procédures, de l’inscription aux examens jusqu’à la réception de votre titre. Bien que les délais puissent varier, le processus est globalement fluide et rapide, vous permettant d’obtenir votre permis dans les meilleurs délais.


Découvrez les Différences de Rémunération entre Moniteurs d’Auto-École Salariés et Indépendants

Découvrez les Différences de Rémunération entre Moniteurs d’Auto-École Salariés et Indépendants

Bien que partageant les mêmes qualifications professionnelles et les mêmes formations, les moniteurs d’auto-école et les enseignants de la conduite indépendants se distinguent notamment par leur rémunération. Les différences de salaire entre un enseignant de la conduite indépendant, travaillant avec une auto-école en ligne, et un moniteur d’auto-école salarié dans une structure traditionnelle, sont révélatrices des spécificités de chaque statut.

Le Salaire Moyen du Moniteur d’Auto-École Salarié

Un moniteur d’auto-école salarié perçoit en moyenne un taux horaire brut de 12,85 €, ce qui se traduit par un salaire net mensuel d’environ 1 520 € pour une semaine de 35 heures, selon les données de Salairemoyen.com. Ce revenu peut varier en fonction de divers facteurs tels que l’expérience, l’âge, le niveau d’études, ainsi que la taille et la localisation de l’entreprise. En effet, en Île-de-France, les salaires sont en moyenne 7% plus élevés que la moyenne nationale, comme le souligne Indeed.fr. Il est également notable que les femmes monitrices perçoivent en moyenne un salaire inférieur de 5% à celui de leurs homologues masculins pour un travail équivalent.

Les Revenus des Moniteurs d’Auto-École Indépendants

Revenus Moyens et Facteurs de Variation

Les revenus d’un moniteur d’auto-école indépendant, qui a reçu la même formation que ses pairs salariés, varient selon les auto-écoles en ligne en France, avec une moyenne de rémunération de 25 € TTC par heure. Chez Ornikar, par exemple, les enseignants partenaires bénéficient d’une rémunération de 30 € TTC (25 € HT) par heure de conduite, indépendamment de leur expérience, de leur niveau d’études, du nombre d’heures travaillées par semaine, ou du lieu d’exercice.

Toutefois, les moniteurs indépendants doivent prendre en compte divers frais liés à leur activité et à leur statut professionnel, tels que les charges opérationnelles, fiscales et sociales. Au début de leur activité, la rémunération peut être plus élevée grâce à l’Aide à la création ou à la reprise d’une entreprise (ACRE), qui réduit les cotisations sociales à 11% la première année.

Pour estimer vos revenus en tant que moniteur d’auto-école indépendant, le simulateur en ligne d’Ornikar offre une estimation de votre chiffre d’affaires, en tenant compte du nombre d’heures travaillées par semaine, du mode d’acquisition du véhicule à double commande, des charges opérationnelles, et des aides financières comme l’ACRE.

Écarts de Revenus : Indépendants vs Salariés

Les revenus des moniteurs d’auto-école indépendants sont en moyenne 30 à 40% plus élevés que ceux de leurs homologues salariés dans des auto-écoles traditionnelles, malgré les mêmes compétences et qualifications (BEPECASER ou Titre Pro ECSR). Chez Ornikar, les enseignants de la conduite partenaires gagnent environ 2 072 € net par mois pour 35 heures par semaine, comparativement à 1 520 € net pour un salarié. Avec l’ACRE, un moniteur indépendant peut même atteindre une rémunération moyenne de 2 486 € par mois.

Les perspectives d’augmentation de salaire pour les moniteurs d’auto-école salariés sont limitées. En revanche, les indépendants peuvent augmenter leurs revenus en diversifiant leurs activités, notamment en collaborant avec plusieurs auto-écoles en ligne ou en proposant des formations post-permis et de sensibilisation à la sécurité routière.

Conclusion

En conclusion, bien que les moniteurs d’auto-école salariés et indépendants partagent des qualifications et des formations similaires, leurs revenus peuvent varier considérablement en fonction de leur statut. Les moniteurs indépendants, en particulier, bénéficient d’une flexibilité et d’opportunités de revenus accrues, faisant de ce statut une option attrayante pour ceux qui cherchent à maximiser leur potentiel de revenu et à bénéficier d’une plus grande autonomie professionnelle.


Coût du BSR ou Permis AM : Tout ce que vous devez savoir

Coût du BSR ou Permis AM : Tout ce que vous devez savoir

Vous rêvez de liberté sur deux roues et envisagez de prendre les commande d’un scooter ? Découvrez ce qu’il vous en coûtera pour décrocher le précieux sésame : le Brevet de Sécurité Routière (BSR), également connu sous le nom de permis AM. Ce dernier est composé d’une partie théorique intégrée aux programmes scolaires, donc obligatoire et gratuite, et d’une partie pratique, payante, à réaliser en auto-école. Alors, combien cela va-t-il vous coûter et quels sont les détails à connaître ? Nous vous dévoilons tout !

Le BSR, une étape obligatoire pour tous

Intégré aux programmes éducatifs, le BSR fait partie du parcours de chaque élève. Un professeur ou un expert externe fournit la documentation et les outils pédagogiques nécessaires à l’acquisition des connaissances en sécurité routière. Cela permet aux jeunes de développer les bons réflexes, que ce soit à pied, à vélo, en voiture, ou sur un cyclomoteur.

L’Attestation Scolaire de Sécurité Routière (ASSR) se compose de deux niveaux : l’ASSR1, passé en classe de 5e, et l’ASSR2, en classe de 3e. Ces attestations sont indispensables pour :

  • S’inscrire au permis AM ;
  • Obtenir le brevet de sécurité routière.

Si l’ASSR n’a pas été obtenue pendant le cursus scolaire, il est possible de passer l’Attestation de Sécurité Routière (ASR), équivalente en termes de valeur.

La formation pratique du BSR est obligatoire uniquement si vous prévoyez de conduire un cyclomoteur ou un quadricycle léger à moteur (50 cm3, 4 kW, 45 km/h maximum). Vous n’en avez pas besoin pour conduire ces véhicules si vous êtes titulaire :

  • D’un permis A ou A1 ;
  • D’un permis B.

Accessible dès 14 ans, le BSR permet de conduire des cyclomoteurs et des voitures sans permis.

Notez également qu’une attestation de fin de formation initiale dans le cadre de la conduite accompagnée vous permet d’obtenir par équivalence la partie pratique du BSR pour l’option quadricycle léger à moteur, autorisant la conduite d’un cyclomoteur ou d’une voiturette sans permis biplace.

Le coût du BSR en auto-école

Les tarifs pour la formation pratique en auto-école, comprenant 4 heures de formation à la conduite, varient et peuvent être négociés. En moyenne, le permis AM coûte environ 180 € en 2022, mais peut atteindre jusqu’à 400 € selon l’emplacement. Il est donc sage de considérer les options disponibles, y compris la possibilité de suivre la formation pendant des vacances loin des grandes villes.

Pour l’option cyclomoteur, il est essentiel de prévoir également le coût d’un équipement conforme, sans lequel la conduite en auto-école n’est pas autorisée. Cela inclut un casque homologué, des gants moto, un blouson ou une veste à manches longues, un pantalon, et des chaussures montantes ou des bottes.

L’importance du BSR pour une conduite sécurisée

La route est partagée par une multitude d’usagers différents, et seul le respect des règles de sécurité routière permet une circulation fluide et réduit le risque d’accidents. Le BSR atteste d’une connaissance adéquate des règles du code de la route et de la maîtrise du véhicule, essentielles pour une conduite sécurisée.

La réglementation entourant la voiturette sans permis est particulièrement stricte, avec des restrictions imposées sur certains types de voies en raison des risques d’accident. En outre, selon la puissance de la voiturette sans permis, l’examen requis varie : le BSR est nécessaire pour les voitures légères, tandis que le permis B1, accessible à partir de 16 ans, est obligatoire pour les quadricycles lourds.

En somme, investir dans le BSR est un petit prix à payer pour assurer votre sécurité et celle des autres sur la route.


Amélioration du Permis de Conduire : Mesures du Gouvernement et Réactions

Amélioration du Permis de Conduire : Mesures du Gouvernement et Réactions

Introduction

Dans le cadre du Comité interministériel de la sécurité routière (CISR), la Première ministre Elisabeth Borne a annoncé une série de 38 mesures, regroupées en 7 axes stratégiques, visant à rendre le permis de conduire plus accessible, fluide et économique, tout en préservant sa qualité. Ces annonces, bien que bien accueillies par certains, soulèvent également des questions et des critiques au sein des professionnels de l’enseignement de la conduite.

Réduction des Coûts et Amélioration de l’Accessibilité

L’objectif principal du gouvernement est de rendre la formation au permis de conduire plus abordable et de simplifier le processus. Avec un coût moyen de 1600€ pour la formation, incluant l’examen du code, le gouvernement reconnaît l’importance de ces dépenses pour les familles, surtout dans les zones où la voiture est le seul moyen de transport viable pour se rendre au travail.

Les Mesures Annoncées et Leurs Impacts

Les mesures annoncées incluent la mise en place d’un livret numérique obligatoire à partir de janvier 2024 pour améliorer le suivi pédagogique et la transparence des coûts, la suppression du délai de trois mois pour suivre la formation « boîte manuelle » après l’obtention du permis « boîte automatique », et la promotion de l’apprentissage anticipé de la conduite pour réduire le nombre d’heures requises avec un moniteur. Bien que ces mesures soient perçues comme positives par certains, d’autres critiquent leur manque d’ambition et soulignent le besoin de mesures supplémentaires pour améliorer l’éducation à la sécurité routière.

Réactions des Organisations Professionnelles

Les organisations professionnelles, telles que Mobilians ESR, se félicitent de certaines mesures, mais insistent sur la nécessité d’actions additionnelles pour garantir une meilleure éducation à la sécurité routière. Des propositions incluent l’adaptation de la formation théorique aux risques comportementaux et locaux, l’instauration d’une formation post-permis obligatoire, et la valorisation du continuum éducatif en matière de sécurité routière. Cependant, d’autres voix, comme celle du président de l’Unidec, Bruno Garancher, expriment un sentiment de déception et critiquent le manque d’ambition des mesures annoncées.

Conclusion

Les mesures annoncées par le gouvernement dans le cadre du CISR visent à rendre le permis de conduire plus accessible et moins cher, tout en maintenant un haut niveau de sécurité routière. Cependant, les réactions des professionnels de l’enseignement de la conduite sont mitigées, soulignant l’importance d’un débat continu et d’actions concertées pour améliorer l’éducation à la sécurité routière en France.


Tout ce que vous devez savoir après avoir réussi votre permis de conduire

Tout ce que vous devez savoir après avoir réussi votre permis de conduire

Les premières étapes après un résultat favorable au permis de conduire

Félicitations pour votre succès à l’examen du permis de conduire ! Ce moment tant attendu marque le début d’une nouvelle ère d’indépendance. Toutefois, avant de prendre le volant, il est crucial de comprendre les démarches à suivre. Le jour de l’examen, n’oubliez pas d’apporter tous les documents nécessaires, tels que votre convocation, une enveloppe prête à poster pour la délivrance du certificat d’examen (CEPC), une pièce d’identité, et l’attestation de réussite du code de la route.

Comprendre et utiliser votre CEPC

Après avoir obtenu un résultat favorable, vous pourrez télécharger votre certificat d’examen (CEPC), qui vous autorise à conduire pendant 4 mois, le temps d’obtenir votre permis officiel. Les résultats sont disponibles en ligne dès le lendemain de l’examen sur RdvPermis. En cas d’échec à l’épreuve pratique, vous pourrez consulter votre grille d’évaluation complétée par l’inspecteur.

La période probatoire : ce qu’il faut savoir

Après avoir réussi votre examen, vous obtenez un permis probatoire, valable pour une durée de 3 ans. Au lieu des 12 points traditionnels, vous commencez avec 6 points. Chaque année, sans infraction, 2 points supplémentaires sont ajoutés jusqu’à atteindre le maximum. Cette période est cruciale pour prouver votre responsabilité en tant que conducteur.

Demander votre permis de conduire officiel

Après votre réussite, il est nécessaire de demander votre permis définitif via le site de l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS), en utilisant votre numéro NEPH et votre CEPC. La plateforme ANTS vous est déjà familière puisque c’est là que vous avez initié votre demande de numéro NEPH.

Les étapes à suivre après l’obtention du permis

Une fois votre permis définitif demandé, il arrive généralement dans un délai de 3 à 6 semaines. Pendant ce temps, votre CEPC sert de permis provisoire, vous permettant de conduire légalement. N’oubliez pas de vous équiper des accessoires obligatoires pour les jeunes conducteurs, tel que le disque A, et de souscrire une assurance adaptée.

Réduire la durée du permis probatoire

Il est possible de réduire la période probatoire en suivant une formation post-permis de 7 heures, accessible après 6 mois de permis. Cela peut réduire votre période probatoire de 6 mois à 1 an. Ne manquez pas non plus la charte du conducteur, présentée lors du téléchargement de votre CEPC, qui doit être signée par tous les nouveaux détenteurs du permis.

Comment consulter vos résultats d’examen ?

Pour vérifier votre résultat d’examen, rendez-vous sur votre espace candidat RdvPermis sur le site permisdeconduire.gouv.fr. Vous aurez besoin de votre numéro NEPH, de votre date de naissance, et de spécifier la catégorie de permis passée. Cette procédure est la même pour connaître les résultats du permis moto.

En suivant ces étapes, vous vous assurerez une transition en douceur vers votre nouvelle vie de conducteur. Prenez le temps de vous familiariser avec ces responsabilités et de profiter pleinement de votre indépendance nouvellement acquise.


Découvrez comment réserver facilement votre examen du code avec Objectif Code

Découvrez comment réserver facilement votre examen du code avec Objectif Code

Objectif Code, une plateforme innovante lancée par la société SGS en 2016, révolutionne l’accès à l’examen du code de la route en France. Sa création fait suite à la privatisation par l’état de l’organisation des épreuves de l’examen officiel. Aujourd’hui, grâce à cette initiative, les candidats, où qu’ils se trouvent, en métropole ou dans les départements d’outre-mer, peuvent réserver une place pour leur examen en quelques clics.

Une réservation simplifiée et accessible

Grâce à une simple connexion Internet, les candidats peuvent non seulement réserver leur date d’examen mais aussi procéder au paiement en ligne. La plateforme se distingue par son système de géolocalisation qui permet de repérer rapidement les centres d’examen les plus proches. Alternativement, une recherche par ville est également possible, offrant ainsi une flexibilité accrue dans le choix du lieu d’examen.

Une réponse adaptée à la demande

Face à l’augmentation constante de la demande dans le secteur, Objectif Code a su tirer son épingle du jeu en multipliant les centres d’examen pour offrir une accessibilité maximale. L’objectif principal étant de simplifier au maximum les démarches d’inscription, la plateforme permet de réaliser toutes les formalités en ligne, évitant ainsi les déplacements inutiles. En outre, un soin particulier a été apporté à la localisation des centres, notamment dans les grandes villes françaises et leur banlieue, pour répondre efficacement aux besoins.

Un service client à votre écoute

Pour accompagner les candidats au mieux, Objectif Code met à disposition un service client réactif. Accessible par téléphone ou e-mail, il est composé de professionnels prêts à répondre à toutes vos interrogations. Les horaires d’ouverture étendus, du lundi au vendredi de 9h à 19h et le samedi de 9h à 13h, facilitent les démarches et l’obtention d’informations.

Un espace dédié aux professionnels

Objectif Code ne se limite pas à faciliter les démarches des candidats individuels. La plateforme offre également une section réservée aux professionnels, permettant notamment aux auto-écoles de pré-réserver des places d’examen, d’effectuer des réservations groupées, et de suivre en temps réel les inscriptions et les résultats de leurs élèves.

Les étapes clés de l’inscription

L’inscription sur Objectif Code nécessite un numéro NEPH, obtainable via diverses instances administratives ou directement en ligne via le site de l’ANTS pour les candidats libres. Une fois ce numéro en poche, le processus d’inscription se poursuit de manière guidée, permettant de choisir facilement sa date et son centre d’examen. Le coût de l’inscription, fixé par arrêté ministériel, est de 30 € par passage.

Se préparer efficacement pour l’examen

Si l’inscription ne comprend pas les frais de formation, il est fortement conseillé de se préparer sérieusement, que ce soit de manière autonome ou avec le soutien d’un organisme de formation. La réussite à l’examen repose sur une bonne compréhension des règles et des signalisations routières. Les candidats sont donc encouragés à s’entraîner jusqu’à atteindre régulièrement un score satisfaisant sur les tests de pratique.

Le jour de l’examen, les candidats doivent se présenter munis d’une pièce d’identité valide et de leur convocation. L’épreuve, réalisée sur tablette, consiste en 40 questions à choix multiples, avec un temps imparti de 30 minutes. Les résultats sont communiqués par email dans les 24 heures suivant l’examen.

En conclusion, Objectif Code offre une solution pratique et efficace pour réserver son examen du code, simplifiant ainsi le parcours des candidats. En se préparant adéquatement et en utilisant les ressources disponibles, chacun a les cartes en main pour réussir son examen du premier coup.


Que faire si je n’ai pas reçu la notification de suspension de permis ?

Dans cet article, nous aborderons les différentes étapes à suivre en cas de non-réception d’une notification de suspension de permis. Nous verrons comment réagir face à cette situation et quelles sont les démarches nécessaires pour résoudre ce problème.

Comprendre les raisons de la non-réception de la notification

La première étape face à une absence de réception de la notification de suspension de permis est de comprendre les raisons qui peuvent expliquer cette situation. En effet, il peut s’agir d’un simple retard dans l’acheminement du courrier ou bien d’une erreur administrative. Voici quelques éléments qui peuvent avoir provoqué cette non-réception :

  • Un retard dans l’acheminement du courrier : les délais postaux peuvent être plus longs que prévus, surtout en période de vacances ou de jours fériés. Il est donc important d’accorder un délai supplémentaire avant de s’inquiéter de la non-réception de votre notification.
  • Une erreur dans l’adresse d’expédition : une erreur de saisie ou de changement d’adresse peut également expliquer ce problème. Vérifiez auprès de votre administration compétente si vos coordonnées ont été correctement enregistrées.
  • Un envoi en recommandé non récupéré : il se peut également que la notification ait été envoyée en recommandé et que vous ne l’ayez pas récupérée. Dans ce cas, rendez-vous au bureau de poste afin de vérifier si un courrier est en attente à votre nom.

Contacter l’administration compétente

Si vous n’avez toujours pas reçu votre notification de suspension de permis après avoir pris connaissance des raisons possibles évoquées précédemment, il est essentiel de contacter l’administration compétente. Cela peut être la préfecture ou le ministère de l’intérieur selon votre situation géographique. Voici les procédures à suivre :

  1. Demande d’information : prenez contact avec l’administration compétente et informez-les de la non-réception de la notification. Ils pourront vous expliquer les démarches à suivre pour connaître l’état de votre dossier et la décision qui a été prise à votre encontre.
  2. Régularisation de la situation : si l’absence de réception de la notification est due à une erreur administrative, vous devrez fournir les documents nécessaires pour régulariser votre situation (justificatif de domicile, copie du permis de conduire, etc.)
  3. Demander une copie de la notification : enfin, si la notification a bien été envoyée mais que vous ne l’avez pas reçue, demandez-en une copie afin de prendre connaissance des motifs de la suspension et des délais à respecter.

Vérifier les modalités de contestation

En cas de suspension de permis, vous disposez d’un certain délai pour contester la décision. Si vous n’avez pas reçu la notification en temps et en heure, ce délai peut être dépassé sans que vous ne soyez informé de vos droits. Une fois la copie de la notification obtenue, vérifiez les modalités de contestation et les délais à respecter pour faire valoir vos droits.

Effectuer les démarches nécessaires

Dans certains cas, il est possible de demander un aménagement ou une annulation de la suspension de permis si celle-ci entraîne des conséquences importantes sur votre vie professionnelle ou personnelle. Renseignez-vous auprès de l’administration compétente pour connaître les démarches à effectuer et les documents à fournir.

Garder l’historique des échanges avec l’administration

Afin de faciliter le suivi de votre dossier et de prouver votre bonne foi en cas de litige, il est essentiel de garder l’historique des échanges avec l’administration. Conservez les copies des courriers envoyés et des réponses reçues, ainsi que les preuves d’envoi (bordereau d’expédition, accusé de réception, etc.). En effet, ces éléments peuvent être utiles pour appuyer votre demande de régularisation et prouver que vous avez entrepris toutes les démarches nécessaires face à cette situation.

Anticiper les conséquences possibles de la non-réception de la notification

En cas de non-réception de la notification de suspension de permis, il est important d’anticiper les conséquences qui peuvent découler de cette situation. Vous pourriez vous voir infliger des sanctions supplémentaires si vous continuez à conduire malgré la suspension de votre permis. Ainsi, il est essentiel de prendre toutes les mesures possibles pour éviter ces sanctions :

  • cesser de conduire jusqu’à la résolution de la situation et l’éventuelle levée de la suspension
  • informer votre employeur de la situation, si cela a un impact sur votre travail
  • envisager des solutions de mobilité alternatives : transports en commun, covoiturage, vélo, etc.